samedi 26 février 2011

Le SPA du Club Med de Punta Cana

Louise et moi nous nous sommes offerts un massage ensembles dans le SPA. J'ai été impressionné par les installations. Tout était beau propre et impeccable. La section de repos était reposante et nous avions vue sur la mer. Les soins étaient parfaits eux aussi.

Quant à la fameuse question que l'on se pose: "doit-on garder nos sous-vêtements lors d'un massage?", et bien elle ne se pose pas vraiment ici. La préposée m'a dit: "ouvrez-vous un casier, vous y trouverez un peignoir, une serviette et un slip jetable". Alice a bien ri quand elle a vu cela, Rosalie quant à elle, ne voulait pas approcher la chose. Malheureusement, il n'y a pas de photos disponibles de moi en slip jetable.

Ma semaine au Club Med de Punta Cana

Après notre séjour de l'an passé et celui de cette année, on peut vraiment dire que ce complexe est notre place pour des vacances familiales. La magie du Club Med et de leurs GO opère toujours. Tous les GO de l'an passé avaient changé de Club sauf deux ou trois que l'on a reconnus. Ils doivent changer de Club à tous les 6 mois, sauf pour de rares exceptions. Les GO sont tous en majorité très jeunes (personne ne ferait une job comme ça avec une famille) et ils parviennent à donner toute une ambiance sur le site. On embarque très rapidement dans cette ambiance et on se laisse prendre à faire les "crazy signs".

Côté nourriture, c'est toujours aussi sensationnel. On a fait plusieurs hôtels tout inclus à Riviera Maya et en République Dominicaine et c'est définitivement là que la nourriture est la meilleure, la plus fraîche et la plus diversifiée.

C'était la première fois que l'on faisait le même hôtel deux ans de suite et on a bien aimé cela. Quand nous sommes arrivés, nous avions l'impression que c'était nos vacances de l'an dernier qui se poursuivaient.

On pense revenir encore l'an prochain et permettre à nos filles d'inviter des amies. Alice a dit qu'elle ferait des activité en masse avec des amies. Mes filles n'ont pas été trop portées sur les activités cette année, mais comme nous a dit un GO Sénégalais: "Au Club Med, on peut veniw pouw tout faiwe ou pouw wien faiwe"

Il y avait beaucoup plus de monde en cette semaine de février qu'à la semaine d'avril où nous étions venus l'an dernier. Il manquait donc de chaises sur la plage et il fallait surveiller nos places. Par contre, il n'y a plus de cartes pour les serviettes et si une chaise était abandonnée depuis longtemps avec une serviette dessus, beaucoup de gens ne se gênaient pas pour prendre la chaise inoccupée. Ça donnait lieux à des scènes parfois cocasses où les gens trouvaient les voleurs de chaises en suivant les traces dans le sable. On finissait quand même à toujours se trouver des chaises assez facilement.

Côté tarifs, nous avons payé bien moins cher que l'an passé, probablement à cause de la force de dollar canadien. Nous n'avons pas pris le vol avec West Jet organisé par le Club Med, nous avons acheté nous même notre vol avec West Jet et nous avons sauvé 400$. Nous nous sommes servis de cette économie pour nous payer un massage au SPA du Club Med. En ne prenant pas le transport du club, nous devions nous rendre par nous même à l'hôtel en taxi. L'hôtel est à 5 minutes de l'aéroport et le trajet coûte 20$US. Nous sommes arrivés bien avant l'autobus et nous avons passé devant tout le monde en prenant le taxi. Ce voyage nous a coûté moins cher que notre voyage à Riviera Maya en 2008 et pour des vacances familiales, on en a bien plus pour notre argent au Club Med.

Cette semaine, j'ai fait beaucoup de tir à l'arc et du volleyball. J'ai aussi fait du "snorkling" et du tennis. Si vous aimez la planche à voile ou le voilier, il y a toujours un bon vent et le site est fantastique pour ça.

Il faut aimer marcher car le site est très grand. Le retour à la salle à manger prenait 8 minutes de marche.

Nous y allons en famille avec deux adolescentes, mais pour les enfants plus jeunes, le Club Med est incroyablement bien équipé. La piscine pour enfant dispose d'un ensemble de jeux d'eaux et ils ont installé une immense toile au dessus pour qu'elle soit à l'ombre. Les enfants ont aussi un abris à l'ombre qui leur est réservé pour jouer dans le sable à la plage.

J'ai écrit ce texte dans l'avion, pendant mon voyage de retour, et je pense bien y retourner encore.

vendredi 25 février 2011

La journée URGENCE DE VIVRE au Club Med de Punta Cana

Aujourd'hui, c'était la dernière journée de notre voyage au club med. J'avais décidé que c'était la journée urgence de vivre. Donc, pas question de sieste aujourd'hui, et le but était de faire le plus d'activités possibles.

J'ai donc pris une marche avec Louise, j'ai joué au tennis avec Louise, j'ai lu, j'ai gagné un tournoi de tir à l'arc, je suis allé chercher ma médaille à la remise officielle au bar près de la plage, Rosalie et moi avons joué dehors jusqu'à la noirceur (volleyball, pétanque, ping-pong et basket). Ensuite, nous avons pris un bon souper en famille, avons regardé un petit bout du spectacle, et j'ai bu un cappucino au bar. Rendu là, on était supposé jouer aux cartes en famille, mais la journée URGENCE DE VIVRE, s'est changée en URGENCE D'ALLER SE COUCHER. Alice a suggéré que la semaine prochaine soit la semaine URGENCE DE MAIGRIR.

samedi 19 février 2011

Départ vers Punta Cana, Rosalie nous a fait rire.

Nous sommes partis vers Punta Cana samedi matin. Rosalie nous a fait bien rire. Toute l'année dernière, Rosalie a eu des problèmes avec un petit gars dans son autobus scolaire parce que ce petit gars, n'était vraiment pas gentil avec elle. Presque à chaque soir, elle nous racontait les mauvais coups qu'il lui faisait et les drames qu'elle vivait. Rosalie, a dû elle aussi être "pas fine" avec lui quelques fois, pour le remettre à sa place.

Ce matin, à l'enregistrement, elle nous a dit: "Regardez là-bas, c'est le petit gars qui me tapait sur les nerfs l'an passé.

Plus tard, on s'est rendu compte que lui et sa famille, étaient dans le même avion que nous. Nous nous sommes assis dans l'avion en premier et la famille du fatigant se sont assis près de nous. Nous n'avions jamais vu un gars vouloir autant s'assoir avec sa sœur. Le père du gars lui a dit, "ta place n'est pas là, mais elle est ici", en pointant le banc vide à côté de Rosalie. Rosalie faisait des grimaces et nous trois, on la regardait en riant. Pauvre Rosalie et pauvre ti-gars, les deux ne voulaient pas êtres ensembles et ça paraissait. Ses parents ne savaient pas ce qui se passait parce qu'il ne leur avait sûrement pas raconté ses mauvais coups.

On a la moitié du voyage de fait et ils ne se sont pas regardés encore. La question qu'on se pose: vont-ils être dans notre hôtel?

Rosalie vient de ne donner la réponse et c'est oui. Qui sait, peut-être vont-ils devenir amis.